Corée du Sud : L'arrêt historique qui ramène le Premier ministre Han Duck-soo

Pourquoi sa destitution a-t-elle été demandée ?
La procédure de destitution était fondée sur cinq accusations principales : 1. Collaboration à la loi martiale de 2023-2024 2. Blocage des nominations judiciaires 3. Omission dans l'enquête sur la rébellion 4. Utilisation contestable du veto présidentiel 5. Co-gouvernance avec le parti au pouvoir
Le verdict : Qu'a dit la Cour constitutionnelle ?
La majorité des juges a considéré qu'il n'y avait pas eu de "trahison grave de la confiance publique" dans sa décision. Divergences sur l'omission face aux actes inconstitutionnels. Validation du quorum pour la destitution.

Réactions politiques : Triomphe ou défaite pour la démocratie ?
Les réactions partisanes et les analystes indépendants mettent en garde contre des précédents dangereux. Le hashtag #HanDuck-soo_PasInnocent est devenu viral sur les réseaux sociaux.
Les citoyens coréens : Entre scepticisme et indifférence
Un sondage révèle 58% de désapprobation. Les opinions des citoyens reflètent l'indifférence envers les crises politiques par rapport aux questions économiques.
Implications pour Yoon Suk-yeol | Séisme politique. Double standard perçu si Yoon est acquitté. Impact sur la composition de la Cour constitutionnelle. |
---|
Quelle suite pour la Corée du Sud ?
Trois défis : Réforme judiciaire, élections parlementaires d'avril 2025 et héritage de la loi martiale. Priorité économique sous le leadership contesté de Han.
Conclusion : Un chapitre qui redéfinit la démocratie coréenne
Un reflet des tensions entre légalité et pragmatisme politique. 2025 comme année décisive pour les valeurs démocratiques.