Abus filmé à Naju : conducteur de chariot élévateur mis en examen

L'horreur filmée à Naju

Incroyable mais vrai : en février 2025 une caméra de sécurité a capté un chauffeur de chariot élévateur liant un ouvrier sri-lankais avec du film plastique puis l’élevant, suspendu à une palette de briques tandis que ses collègues se moquaient ! Cette séquence glaçante a déferlé sur les sites de DC Inside, PGR21, les réseaux sociaux et les gros médias tels que Chosun Daily, AP News, Business & Human Rights, Korea Times et Yahoo Finance. Vous imaginez la stupeur quand la vidéo a atteint les blogs de Naver et Tistory comme molab_suda et bhjang3 ?
Comprendre comment un tel acte s’est déroulé dans l’une des économies les plus avancées au monde laisse sans voix

Enquête et réponse officielle

Le président Lee Jae Myung a exprimé son choc en partageant la vidéo sur son Facebook et a assuré qu’une sanction exemplaire serait prise. La police de Jeolla du Sud a placé en examen le quinquagénaire pour détention illégale aggravée et violences, sans mandat de dépôt. Le ministère du Travail a lancé une inspection générale sur le respect des salaires, le harcèlement en milieu professionnel et a infligé une amende de trois millions de wons à la briqueterie. Les articles de Korea Times, Chosun et Business & Human Rights rapportent que le parquet vérifie aussi d’anciens dossiers contre le mis en cause

Réactions en ligne et blogs coréens

Sur Naver et Tistory, au moins six blogs ont réagi : marxleninkr dénonce l’EPS qui enferme les migrants dans des emplois précaires, goldjangkkabi appelle à briser la culture de l’impunité, pakkumi rappelle que minimiser l’affaire comme une blague entretient la violence. newneek et articlever publient des témoignages de victimes d’intimidation et myturn insiste sur l’urgence de canaux de plainte accessibles. Les forums de discussion se sont enflammés, oscillant entre colère, tristesse et appels à la réforme. Qui aurait cru qu’un incident en apparence isolé déclencherait un tel débat national

Contexte culturel et perspectives

La Corée du Sud accueille plus de 100 000 travailleurs migrants via le système EPS, mais la barrière linguistique et la hiérarchie rigide les isolent souvent. La fierté nationale pour la productivité peut masquer du harcèlement, surtout envers les étrangers. Les fans internationaux de la culture coréenne doivent saisir ces enjeux et soutenir les ONG locales ainsi que les réformes du droit du travail. Partager ces histoires, encourager la transparence et exiger des mécanismes de protection efficaces sont essentiels pour garantir la dignité de tous